Occurences de l'expression

or

pour HUGUES, Clovis

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TYL L'ESPIEGLE (1906)

Alors il la tient peu, je te le dis tout bas. v.9 (Acte , scène 1, NICOLAS)
D'où son cornet, ainsi que cela se rencontre, v.19 (Acte , scène 1, ANNA)
Y restera longtemps, son cornet à la main. v.30 (Acte , scène 1, NICOLAS)
Plaise à Monsieur Saint-George ! v.31 (Acte , scène 1, ANNA)
Ah ! Quel énorme cierge v.31 (Acte , scène 1, NICOLAS)
Mais, le voici... Qu'a-t-il à chantonner encore ? v.35 (Acte , scène 1, NICOLAS)
Or, un troubadour vint qui charma la princesse... v.62 (Acte , scène 2, TYL)
Alors le troubadour épousa la princesse... v.77 (Acte , scène 2, TYL)
Marchez derrière nous dans l'ordre que voilà. v.115 (Acte , scène 3, ANNA)
Même lorsqu'il se prétend sage, v.116 (Acte , scène 3, LES HOMMES D'ARMES)
Que Tyl, en se taisant, s'attire cet orage ! v.122 (Acte , scène 3, ANNA)
Dore les hallebardes ; v.126 (Acte , scène 3, LE COMTE)
Que l'orage environne. v.131 (Acte , scène 3, LE COMTE)
Un page sans égal dont le rire sonore v.143 (Acte , scène 3, TYL)
Dans votre vieux château voltige dès l'aurore ? v.144 (Acte , scène 3, TYL)
En mon absence encor décoché quelque trait ? v.146 (Acte , scène 4, LA COMTESSE)
Quel piètre favori ! v.156 (Acte , scène 4, UN HOMME D'ARMES)
Ô madame, merci ! Désormais, grâce à vous, v.157 (Acte , scène 4, TYL)
Et de crier partout, sans craindre qu'il me morde, v.163 (Acte , scène 4, TYL)
Que messire Van Bock a mérité la corde. v.164 (Acte , scène 4, TYL)
Qu'il porte mal sa toque et qu'il a le nez rouge. v.168 (Acte , scène 4, TYL)
Autorisez-moi, Comte, à lui jeter mon gant ! v.170 (Acte , scène 4, TYL)
Puisque vous l'ordonnez, je retourne au rempart, v.178 (Acte , scène 4, TYL)
Et je sonne du cor à fendre les murailles v.179 (Acte , scène 4, TYL)
Je crois fort qu'on a préparé v.181 (Acte , scène 4, TYL)
Ce dîner pour moi seul. Le beau gâteau doré ! v.182 (Acte , scène 4, TYL)
Debout à l'appel du cor ! v.212 (Acte , scène 5, LA COMTESSE)
Mon coursier harnaché d'or ! v.214 (Acte , scène 5, LA COMTESSE)
Sapristi ! C'est encor ce méchant petit page v.219 (Acte , scène 6, VAN BOCK)
Quoi ! Berner de la sorte un intendant du comte ! v.223 (Acte , scène 6, VAN BOCK)
Ah ! Si je le tenais, je lui tordrais le cou v.226 (Acte , scène 6, VAN BOCK)
Pendant plus de huit jours au bout de son oreille ! v.235 (Acte , scène 6, VAN BOCK)
Je le corrigerai devant tout le château ! v.237 (Acte , scène 6, VAN BOCK)
Je suis déshonoré, ma disgrâce est complète, v.244 (Acte , scène 6, VAN BOCK)
Que d'être à cette chaise attaché de la sorte. v.247 (Acte , scène 6, VAN BOCK)
Comme ce noeud est dur ! Que le diable t'emporte, v.248 (Acte , scène 6, VAN BOCK)
Me remettre les clés du trésor. v.259 (Acte , scène 6, TYL)
À travers le corps, si les clés du trésor... v.262 (Acte , scène 6, TYL)
Quel butor réussi ! v.265 (Acte , scène 6, TYL)
À la manière antique attendrais-tu la mort ? v.269 (Acte , scène 6, TYL)
De plus fort en plus fort ! v.270 (Acte , scène 6, TYL)
Fort bien. Tu comprends comme moi v.277 (Acte , scène 6, TYL)
Ne se l'expliquait pas d'une façon formelle, v.280 (Acte , scène 6, TYL)
Sire ! Tyl est charmant, je vous le dis encor ; v.289 (Acte , scène 6, VAN BOCK)
Et les clés du trésor ? v.290 (Acte , scène 6, TYL)
De ne pas lui tirer les oreilles. v.302 (Acte , scène 6, TYL)
De ne pas lui tirer les oreilles. v.303 (Acte , scène 6, TYL)
Quoi ! Méchant avorton, tu me jouais encore ! v.307 (Acte , scène 6, VAN BOCK)
Je t'abhorre. v.308 (Acte , scène 6, VAN BOCK)
Je ferai quatre morceaux de toi. v.309 (Acte , scène 6, VAN BOCK)
Vraiment ! J'en suis fort aise. v.316 (Acte , scène 6, TYL)
Je l'ai cru tout d'abord. Tu n'es pas mauvais diable ; v.323 (Acte , scène 6, TYL)
J'avais tort, j'en conviens. v.327 (Acte , scène 6, TYL)
Endormons-nous. v.333 (Acte , scène 6, TYL)
Pour dormir. v.333 (Acte , scène 6, TYL)
Je dors. v.336 (Acte , scène 6, VAN BOCK)
Je dors aussi. v.336 (Acte , scène 6, TYL)
Je ne puis pas dormir, hélas ! Mais en fermant v.337 (Acte , scène 6, VAN BOCK)
Éblouissant, exquis, adorable, céleste, v.339 (Acte , scène 6, VAN BOCK)
Je dors toujours. v.342 (Acte , scène 6, VAN BOCK)
Avec les séraphins dormi dans le duvet v.366 (Acte , scène 7, TYL)
Je devrais te tirer les oreilles. v.368 (Acte , scène 7, LE COMTE)
Où je naquis, le sort me fit l'aimable tour v.386 (Acte , scène 7, TYL)
Il est plein de sols d'or, et le ciel a moins d'astres ! v.392 (Acte , scène 7, TYL)
Les Gaulois adoraient le divin Teutatès. v.448 (Acte , scène 9, LES DOCTEURS)
Archimède a trouvé la force cylindrique, v.449 (Acte , scène 9, LES DOCTEURS)
Encore toi ! v.452 (Acte , scène 9, LE COMTE)
Messieurs, vous me comblez, votre faveur m'honore. v.453 (Acte , scène 9, TYL)
Mais je le suis encore ! v.454 (Acte , scène 9, TYL)
Flos, floris. v.463 (Acte , scène 9, 1er DOCTEUR)
La terre avait été de Cologne apportée. v.465 (Acte , scène 9, LA COMTESSE)
On m'a mis à la porte en me traitant de fou... v.508 (Acte , scène 10, VAN BOCK)

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CENDRILLON (1906)

J'adore tes cheveux dans ces noeuds de rubans. v.13 (Acte 1, scène 1, MAGALI)
Dans le septième ciel ta grâce me transporte. v.15 (Acte 1, scène 1, MAGALI)
Ton sourire est charmant de la sorte. v.16 (Acte 1, scène 1, MAGALI)
Comme son fol orgueil lui fait perdre la tête ! v.19 (Acte 1, scène 1, FRISETTE)
Fort bien v.26 (Acte 1, scène 1, MAGALI)
Maintenant que la mort d'une mère nous laisse v.39 (Acte 1, scène 2, MAGALI)
Je cherche en vain mes torts : que me reprochez-vous. v.41 (Acte 1, scène 2, CENDRILLON)
Ce n'était pas pour moi qu'avril clorait les fleurs, v.50 (Acte 1, scène 2, CENDRILLON)
Tendre petit Saint-Jean prêchant hors du désert ! v.53 (Acte 1, scène 2, MAGALI)
L'été, pendant la nuit, je dormais sous les branches v.56 (Acte 1, scène 2, CENDRILLON)
J'allais mourir, hélas ! Lorsque sur mon chemin, v.62 (Acte 1, scène 2, CENDRILLON)
Les hauts lambris dorés flamboyer sur les têtes ! v.76 (Acte 1, scène 2, CENDRILLON)
Tu ne franchiras pas, te dis-je, cette porte. v.118 (Acte 1, scène 4, LE PORTIER)
Je la franchirai, dis-je, et le diable t'emporte ! v.119 (Acte 1, scène 4, LA FÉE URGÈLE)
C'est trop fort. v.120 (Acte 1, scène 4, LE PORTIER)
Tu t'échauffes la bile, impétueux portier. v.121 (Acte 1, scène 4, LA FÉE URGÈLE)
Je ne suis pas portier, je suis concierge. v.122 (Acte 1, scène 4, LE PORTIER)
Encore mieux ! v.128 (Acte 1, scène 4, CENDRILLON)
Et maintenant dis-moi, portier, si je me venge, v.182 (Acte 1, scène 4, LA FÉE URGÈLE)
Deux cornes sur le front ou te précipiter, v.189 (Acte 1, scène 4, LA FÉE URGÈLE)
Je suis mort. v.199 (Acte 1, scène 4, LE PORTIER)
Bonne fée, accordez-lui sa grâce. v.199 (Acte 1, scène 4, CENDRILLON)
Il tire si souvent le cordon qu'il enrage. v.202 (Acte 1, scène 4, CENDRILLON)
Cendrillon l'a voulu : relève-toi, portier ! v.205 (Acte 1, scène 4, LA FÉE URGÈLE)
Où je cueille, songeuse, au bord du lac dormant, v.217 (Acte 1, scène 5, LA FÉE URGÈLE)
Puis, tu pleuras. Alors je recueillis tes larmes, v.227 (Acte 1, scène 5, LA F?E URG?LE)
Je t'apporte, ce soir, le bonheur et la paix. v.233 (Acte 1, scène 5, LA FÉE URGÈLE)
Par les sommets tout blancs de l'essor des colombes, v.238 (Acte 1, scène 5, LA FÉE URGÈLE)
Des rayons et des vents flottant clans la forêt, v.241 (Acte 1, scène 5, LA F?E URG?LE)
Par le chant des marins sur la vague sonore, v.242 (Acte 1, scène 5, LA F?E URG?LE)
Par la fuite du gnome au lever de l'aurore, v.243 (Acte 1, scène 5, LA F?E URG?LE)
Par la rose effeuillant sa corolle d'or fin, v.244 (Acte 1, scène 5, LA F?E URG?LE)
J'ordonne qu'à l'instant où cette main s'abaisse v.246 (Acte 1, scène 5, LA F?E URG?LE)
Que de noirs horizons viennent de s'éclairer ! v.265 (Acte 1, scène 5, LA FÉE URGÈLE)
Du vinaigre ! Je suis un homme à demi mort. v.273 (Acte 1, scène 6, LE PORTIER)
C'est trop fort ! v.274 (Acte 1, scène 6, LE PORTIER)
Or çà, vas-tu nous dire en deux mots quelle affaire. v.279 (Acte 1, scène 6, LA FÉE URGÈLE)
Lorsque j'ai vu le bas des murailles bouger, v.282 (Acte 1, scène 6, LE PORTIER)
Sort de la fente et court s'aligner sur deux files, v.287 (Acte 1, scène 6, LE PORTIER)
J'ai le frisson. La peur glace mes os. Je sors. v.293 (Acte 1, scène 6, LE PORTIER)
Les ratons et les rats me poursuivent dehors ; v.294 (Acte 1, scène 6, LE PORTIER)
Un petit nègre accourt, souffle sur une orange v.296 (Acte 1, scène 6, LE PORTIER)
L'orange est devenue un carrosse éclatant. v.298 (Acte 1, scène 6, LE PORTIER)
Alors, venant à moi, monsieur le négrillon v.301 (Acte 1, scène 6, LE PORTIER)
Me dit : « Ô porte-clés, va-t'en chez Cendrillon v.302 (Acte 1, scène 6, LE PORTIER)
Je me pince les bras, je crois dormir debout ; v.305 (Acte 1, scène 6, LE PORTIER)
Qui m'a produit l'effet d'un flot d'or et d'azur v.322 (Acte 1, scène 7, LE PORTIER)
N'en viderais-tu pas encore une bouteille ? v.324 (Acte 1, scène 7, LA FÉE URGÈLE)
Trois ou quatre, au besoin, et sans le moindre effort. v.325 (Acte 1, scène 7, LE PORTIER)
Nous en recauserons ; mais dis-moi tout d'abord v.326 (Acte 1, scène 7, LA FÉE URGÈLE)
Le troisième est horrible : on y bat du tambour. v.342 (Acte 1, scène 7, LE PORTIER)
Et que souvent, malgré sa démarche orgueilleuse, v.351 (Acte 1, scène 7, LE PORTIER)
Je m'endors ou fais semblant. v.366 (Acte 1, scène , LE PORTIER)
Je m'endors ou je caresse v.368 (Acte 1, scène , LE PORTIER)
Un litre de vieux bordeaux. v.376 (Acte 1, scène , LE PORTIER)
Ce n'est pas étonnant qu'il n'ouvre pas la porte, v.388 (Acte 1, scène 9, FRISETTE)
Que boit-il de la sorte ? v.389 (Acte 1, scène 9, FRISETTE)
Il ne bouge pas plus qu'un ivrogne endormi. v.391 (Acte 1, scène 9, FRISETTE)
Hé, portier ! Hé, bonhomme ! v.392 (Acte 1, scène 9, MAGALI)
Hé, portier ! Hé, bonhomme ! v.392 (Acte 1, scène 9, FRISETTE)
S'il dort, c'est d'un étrange somme. v.393 (Acte 1, scène 9, FRISETTE)
Mesdemoiselles, j'ai grand tort ; mais, voyez-vous, v.398 (Acte 1, scène 9, LE PORTIER)
Si vous vous obstinez de la sorte à vous taire. v.412 (Acte 1, scène 9, MAGALI)
M'a-m'a fort effrayé. La fée Urgèle lègue v.416 (Acte 1, scène 9, LE PORTIER)
Ma pauvre langue ! Elle est dé-déjà moitié morte ; v.420 (Acte 1, scène 9, LE PORTIER)
Qu'importe ? v.421 (Acte 1, scène 9, FRISETTE)
Aucune de mes soeurs n'est encore venue ? v.424 (Acte 1, scène 10, CENDRILLON)
Et l'horloge a déjà sonné deux fois minuit. v.442 (Acte 1, scène 11, CENDRILLON)
Elle te ressemblait ? L'histoire est adorable. v.456 (Acte 1, scène 12, FRISETTE)
Est-ce encore la fée Urgèle, ma maîtresse, v.460 (Acte 1, scène 12, CENDRILLON)
Un sort mauvais avait été jeté sur elle, v.504 (Acte 1, scène 13, LE PRINCE CHARMANT)
Vint la lui dérober par une nuit d'orage. v.507 (Acte 1, scène 13, LE PRINCE CHARMANT)
Mais notre doux trésor ne nous fut pas rendu. v.510 (Acte 1, scène 13, LE PRINCE CHARMANT)
C'était pour on ne sait quelle horrible chimère v.511 (Acte 1, scène 13, LE PRINCE CHARMANT)
Or, dame Urgèle vient de me dire ceci : v.513 (Acte 1, scène 13, LE PRINCE CHARMANT)
Vous pourrez la nommer votre soeur adorée ! » v.516 (Acte 1, scène 13, LE PRINCE CHARMANT)
Forçons un peu. Si je pouvais la mettre ? v.519 (Acte 1, scène 13, FRISETTE)
Mes palais, mes trésors, tous mes biens sont à toi ! v.553 (Acte 1, scène 14, LE PRINCE CHARMANT)

LA BOITE A MUSIQUE (1906)

Donner un morceau de pain noir ? » v.4 (Acte 1, scène 1, GEORGES)
Ô Muse, inspire-moi ! Relisons-nous d'abord. v.19 (Acte 1, scène 1, GEORGES)
Quel est ce beau monsieur qui babille si fort ? v.20 (Acte 1, scène 1, NOELLIE)
Un accord dans ces bois que mon souffle pénètre ! v.30 (Acte 1, scène 1, GEORGES)
Donner un morceau de pain noir ? » v.34 (Acte 1, scène 1, GEORGES)
En croirai-je l'écho, mes yeux et mon oreille ? v.36 (Acte 1, scène 1, GEORGES)
Moi ! Je n'ai jamais mieux trotté, mangé, dormi. v.42 (Acte 1, scène 1, GEORGES)
Envoyant aux ormeaux des saluts de la main, v.49 (Acte 1, scène 1, NOELLIE)
Une forge ! v.55 (Acte 1, scène 1, GEORGES)
Alors prenez de la tisane. v.60 (Acte 1, scène 1, NOELLIE)
Mais, dites-moi, pourquoi vous cacher de la sorte ? v.63 (Acte 1, scène 1, GEORGES)
Peu m'importe. v.64 (Acte 1, scène 1, NOELLIE)
J'ai bien souvent pleuré ; mais j'ignore la haine, v.76 (Acte 1, scène 1, NOELLIE)
Je me revois alors dans de la clarté. L'air v.81 (Acte 1, scène 1, NOELLIE)
Des haillons brodés d'or, des clameurs dans la foule, v.91 (Acte 1, scène 1, NOELLIE)
C'est ma vie. Un matin, j'ai quatorze ans, je pars, v.93 (Acte 1, scène 1, NOELLIE)
Vous le savez fort bien. v.99 (Acte 1, scène 1, GEORGES)
Fort mal, je vous le jure. v.99 (Acte 1, scène 1, NOELLIE)
Tenez, embrassez-moi, vous êtes un trésor. v.129 (Acte 1, scène 3, NOÉMIE)
Pour le pauvre qui souffre un baiser est de l'or. v.130 (Acte 1, scène 3, NOELLIE)
Je vivais, on m'a pris mon être, je suis mort, v.137 (Acte 1, scène 4, LE COMTE)
Et sur moi maintenant il souffle un vent si fort v.138 (Acte 1, scène 4, LE COMTE)
Ma fille ! ô souvenir ! lointain lever d'aurore ! v.147 (Acte 1, scène 4, LE COMTE)
Elle chantait déjà, toute petite encore, v.148 (Acte 1, scène 4, LE COMTE)
Le doux chant qui l'avait endormie au berceau. v.149 (Acte 1, scène 4, LE COMTE)
Quand je suis seul avec le talisman sonore v.155 (Acte 1, scène 4, LE COMTE)
Où vibre la chanson de mon Ëléonore. v.156 (Acte 1, scène 4, LE COMTE)
Éléonore ! Elle est vivante et me sourit. v.161 (Acte 1, scène 4, LE COMTE)
Mais tu ne chantes plus. Dormirais-tu, bébé ? i v.169 (Acte 1, scène 4, LE COMTE)
Ô Nono, mon enfant, trésor de mes trésors, v.173 (Acte 1, scène 4, LE COMTE)
Comme toi je me tais, comme toi je m'endors. v.174 (Acte 1, scène 4, LE COMTE)
Je suis garde champêtre et n'ai pour oreiller v.177 (Acte 1, scène 6, LE GARDE CHAMPÊTRE)
Que trois pailles en croix où l'on dort pour veiller ; v.178 (Acte 1, scène 6, LE GARDE CHAMP?TRE)
Une boîte ! À quoi donc ce ressort-là sert-il ? v.185 (Acte 1, scène 6, LE GARDE CHAMP?TRE)
Ce ressort était là, je l'ai pressé ; j'avoue, v.191 (Acte 1, scène 6, LE GARDE CHAMP?TRE)
Sur moi, pauvre mortel, déchaîne sa furie ? v.196 (Acte 1, scène 6, LE GARDE CHAMP?TRE)
Dormez, et, comprenant que ma prière est juste, v.199 (Acte 1, scène 6, LE GARDE CHAMP?TRE)
Ce son mystérieux qui m'a frappé l'oreille ? v.204 (Acte 1, scène 7, NOELLIE)
Un accord vague auquel mon coeur a répondu. v.210 (Acte 1, scène 7, NOELLIE)
Qui descendrez jamais dans l'horreur de ma nuit ! v.218 (Acte 1, scène 7, LE COMTE)
Qu'ai-je encore entendu ? v.253 (Acte 1, scène 9, LE COMTE)
Quelque chien enragé vous aurait-il mordu ? v.254 (Acte 1, scène 9, NOÉMIE)
- Sain de corps et d'esprit,-sans peur qu'on m'en défie, - v.260 (Acte 1, scène 9, LE GARDE CHAMPÊTRE)
Qui fait autorité chez monsieur Bridanon. v.286 (Acte 1, scène 9, LE GARDE CHAMPÊTRE)
Sans escorte v.299 (Acte 1, scène 10, LE GARDE CHAMPÊTRE)
Je me porte v.300 (Acte 1, scène 10, LE GARDE CHAMP?TRE)
Partout où l'ordre est troublé ; v.301 (Acte 1, scène 10, LE GARDE CHAMP?TRE)
Sans escorte v.305 (Acte 1, scène 10, GEORGES)
Il me porte v.306 (Acte 1, scène 10, GEORGES)
Partout où l'ordre est troublé ; v.307 (Acte 1, scène 10, GEORGES)
D'aller jusques à Brive en quatorze minutes, v.352 (Acte 1, scène 10, GEORGES)
M'apporter sa réponse ? On m'a dit qu'il demeure v.356 (Acte 1, scène 10, GEORGES)
Le commerce, voilà ce qui produit de l'or. v.405 (Acte 1, scène 12, MADAME BRIDANON)
Toi, tu fais des chansons, puis des chansons encor. v.406 (Acte 1, scène 12, MADAME BRIDANON)
Que rapporte cela ? Fils, je te le demande, v.407 (Acte 1, scène 12, MADAME BRIDANON)
Il serait très normal v.421 (Acte 1, scène 13, BRIDANON)
Moi, je n'ai pas encore fini. v.437 (Acte 1, scène 14, LE GARDE CHAMPÊTRE)
Permettez-moi d'abord de donner cette lettre v.439 (Acte 1, scène 14, LE GARDE CHAMPÊTRE)
À monsieur Georges. v.440 (Acte 1, scène 14, LE GARDE CHAMP?TRE)
« Monsieur Georges, vos vers sont les vers d'un moutard. v.445 (Acte 1, scène 14, LE GARDE CHAMPÊTRE)
Votre tout dévoué : Polydore Trichard. v.446 (Acte 1, scène 14, LE GARDE CHAMP?TRE)
Si le sort, impuissant à faire du nouveau, v.453 (Acte 1, scène 14, LE COMTE)
Et toi, bijou sonore, v.459 (Acte 1, scène 14, LE COMTE)
Redis-nous la chanson de mon Éléonore ! v.460 (Acte 1, scène 14, LE COMTE)
Puisque je l'allaitai, lorsque j'eus le bonheur v.472 (Acte 1, scène 14, MADAME BRIDANON)
Le diable est à la fin sorti de sa prison ; v.477 (Acte 1, scène 14, LE GARDE CHAMPÊTRE)
Monsieur Georges, pourquoi cette musique-là v.480 (Acte 1, scène 14, PAYSANS, PAYSANNES)

UNE NUIT DE MOLIÈRE (1879)

Rugit, bave et se tord sous ma plume de fer. v.4 (Acte 1, scène 1, MOLIÈRE)
Quelle torture ! v.9 (Acte 1, scène 1, MOLI?RE)
Ce livre que j'abhorre et qui pourtant m'est cher, v.27 (Acte 1, scène 1, MOLI?RE)
Lorsque ma main les touche. Ah ! Comme ils sont Molière ! v.33 (Acte 1, scène 1, MOLI?RE)
Tous ces jolis galants au corsage élancé, v.43 (Acte 1, scène 1, MOLI?RE)
En détournant les yeux de mon oeuvre immortelle : v.69 (Acte 1, scène 1, MOLI?RE)
Que t'importent les maux, si ton malheur te sert ? v.99 (Acte 1, scène 2, LA MUSE)
Que n'ai-je eu le destin d'un mortel ignoré ! v.102 (Acte 1, scène 2, MOLIÈRE)
Vous redoutez la mort, vous craignez l'inconnu, v.105 (Acte 1, scène 2, LA MUSE)
Lorsque ton coeur battit sans deviner pourquoi ! v.118 (Acte 1, scène 2, LA MUSE)
Ô poète oublieux, ce fut encore moi ! v.120 (Acte 1, scène 2, LA MUSE)
Tu n'étais qu'un enfant ignoré de l'envie, v.124 (Acte 1, scène 2, LA MUSE)
Un rêveur qui s'assied aux bornes du chemin : v.125 (Acte 1, scène 2, LA MUSE)
Elle jaillit avec des clameurs de torrent v.128 (Acte 1, scène 2, LA MUSE)
La sombre corde humaine où vibrent les douleurs. v.133 (Acte 1, scène 2, LA MUSE)
Le vent portail au ciel l'âme errante des fleurs. v.135 (Acte 1, scène 2, LA MUSE)
J'ai fait encore plus, poète : j'ai foulé v.138 (Acte 1, scène 2, LA MUSE)
La clé d'or qui t'ouvrait les portes d'or du rêve. v.143 (Acte 1, scène 2, LA MUSE)
J'ai fait encore plus : j'ai soulevé la haine v.145 (Acte 1, scène 2, LA MUSE)
Autour de ton génie et de ton noble orgueil. v.146 (Acte 1, scène 2, LA MUSE)
Eh ! Que m'importe à moi que mon siècle me nomme, v.162 (Acte 1, scène 2, MOLIÈRE)
Lorsque sous le pressoir on met les grappes mûres, v.164 (Acte 1, scène 2, LA MUSE)
J'effeuillerais au vent mon immortalité. v.176 (Acte 1, scène 2, MOLIÈRE)
Lorsque je sais le mieux qu'elle m'est infidèle, v.177 (Acte 1, scène 2, MOLI?RE)
Elle n'était encor qu'une rieuse enfant, v.180 (Acte 1, scène 2, MOLIÈRE)
Un oiseau qui gazouille au lever de l'aurore, v.181 (Acte 1, scène 2, MOLI?RE)
Quand elle m'inspira l'amour qui me dévore. v.183 (Acte 1, scène 2, MOLI?RE)
Quelque fou qui portait le feutre sur l'oreille, v.196 (Acte 1, scène 2, MOLI?RE)
Et sur les lyres d'or elle eût été chantée ; v.213 (Acte 1, scène 2, LA MUSE)
Qui cachent l'avenir et les décrets du sort ! v.221 (Acte 1, scène 2, MOLIÈRE)
Quand on t'aura couché dans la paix de la mort. v.223 (Acte 1, scène 2, LA MUSE)
Goethe, mêlant l'aurore et la nuit dans on livre v.246 (Acte 1, scène 2, LA MUSE)
Lamartine, aux accords d'une vivante lyre, v.249 (Acte 1, scène 2, LA MUSE)
Et pendant que ses chants, dans l'espace emportés, v.251 (Acte 1, scène 2, LA MUSE)
Alors qu'il souriait pour leur cacher ses pleurs. v.258 (Acte 1, scène 2, LA MUSE)
Victor_Hugo fera dans sa strophe superbe v.259 (Acte 1, scène 2, LA MUSE)
Les roses, les sillons, les forêts, les brins d'herbe, v.261 (Acte 1, scène 2, LA MUSE)
Il interprétera l'énigme de la mort v.267 (Acte 1, scène 2, LA MUSE)
Il sera, sous le ciel où le châtiment dort, v.269 (Acte 1, scène 2, LA MUSE)
Le forgeron des dieux dans l'antre du tonnerre. v.270 (Acte 1, scène 2, LA MUSE)
Et tient en quelque sorte un morceau de justice. v.286 (Acte 1, scène 2, LA MUSE)
Reprends le fil doré de tes pantins vivants, v.296 (Acte 1, scène 2, MOLIÈRE)

LA MAISON DES DIMANCHES (1906)

C'est par le dehors seul, dans le siècle où nous sommes, v.3 (Acte 1, scène 1, VALENTIN)
Il faut, bon gré, mal gré, que je sois très morose, v.8 (Acte 1, scène 1, VALENTIN)
Contient moins de trésors dans sa panse vermeille, v.12 (Acte 1, scène 1, VALENTIN)
Parce qu'elle est logée au fond d'un château fort, v.13 (Acte 1, scène 1, VALENTIN)
Noir comme ses corbeaux, triste comme la mort ! v.14 (Acte 1, scène 1, VALENTIN)
Le mot d'ordre ? v.19 (Acte 1, scène 1, RENÉ)
Et cornet à pistons ! v.20 (Acte 1, scène 1, VALENTIN)
Faites encore un pas, v.22 (Acte 1, scène 1, RENÉ)
Quand il est au port d'arme, v.23 (Acte 1, scène 1, RENÉ)
Qui ressusciterait un mort des anciens temps v.26 (Acte 1, scène 1, VALENTIN)
Quand il est au port d'arme, un soldat doit se taire. v.36 (Acte 1, scène 1, RENÉ)
Dites encore un mot, et je fais feu. v.39 (Acte 1, scène 1, RENÉ)
Mais tu n'as pas encore à mes yeux étalé v.77 (Acte 1, scène 2, VALENTIN)
Un ordre un peu précis de la mettre sous clé... v.78 (Acte 1, scène 2, VALENTIN)
Un ordre ? Le voilà. Le parquet est bonhomme : v.79 (Acte 1, scène 2, FANNY)
Que les vents de novembre ont emporté le toit v.82 (Acte 1, scène 2, FANNY)
Je m'endors dans le mois où le ciel bleu rayonne ; v.84 (Acte 1, scène 2, FANNY)
Que voulez-vous ! j'adore v.87 (Acte 1, scène 2, FANNY)
Les grilles, je me plais avoir lever l'aurore v.88 (Acte 1, scène 2, FANNY)
Bien close, entre ces murs d'un château fort très vieux, v.97 (Acte 1, scène 2, FANNY)
Des chevaliers, portant sur la dextre un faucon, v.102 (Acte 1, scène 2, FANNY)
Sire, ouvrez moins l'oreille à mes méchants discours, v.110 (Acte 1, scène 2, FANNY)
Sortez-vous du château ? v.115 (Acte 1, scène 2, FANNY)
Rapproche-toi, la soeur : tout est-il ordonné ? v.129 (Acte 1, scène 3, RENÉ)
J'adore la gaîté. v.136 (Acte 1, scène 3, RENÉ)
Est-ce sur le poignard, la corde ou le poison v.166 (Acte 1, scène 3, FANNY)
Mon bisaïeul prenait par les cornes un boeuf v.173 (Acte 1, scène 3, FANNY)
Les rois autorisaient mes aïeux à s'asseoir v.181 (Acte 1, scène 3, FANNY)
À l'heure où le sorcier pâlit sur son grimoire, v.183 (Acte 1, scène 3, FANNY)
Les ordres que je donne aux gens de mon escorte. v.187 (Acte 1, scène 3, HENRIETTE)
Ma mère et vous, mon frère, entrez par cette porte, v.188 (Acte 1, scène 3, HENRIETTE)
De porter un fusil ? v.205 (Acte 1, scène 4, HENRIETTE)
Au port d'arme, mignonne ! v.207 (Acte 1, scène 4, FANNY)
Parlons alors sans crainte, ouvrons-nous notre coeur. v.241 (Acte 1, scène 4, FANNY)
Dans cette forteresse, après chaque semaine. v.244 (Acte 1, scène 4, FANNY)
Hors d'haleine, encor loin des maisons de la ville, v.247 (Acte 1, scène 4, FANNY)
Ce château n'était pas encore une prison, v.249 (Acte 1, scène 4, FANNY)
L'orage qui grondait, terrible, autour de nous, v.253 (Acte 1, scène 4, FANNY)
De la mort qui planait, prête à fondre sur elle. v.260 (Acte 1, scène 4, FANNY)
Seront plus forts. Je sens qu'il faut que je m'en aille, v.267 (Acte 1, scène 4, FANNY)
Et puis, même en contant leur infortune amère, v.271 (Acte 1, scène 4, FANNY)
N'ont pas fait à l'enfant que son destin emporte v.275 (Acte 1, scène 4, FANNY)
Oublier ce château plein de sa mère morte, v.276 (Acte 1, scène 4, FANNY)
Et malgré ma jeunesse et malgré mon orgueil, v.277 (Acte 1, scène 4, FANNY)
Moi, monsieur ? c'est trop fort ! v.285 (Acte 1, scène 5, BONHOMME)
Elle a tort. v.286 (Acte 1, scène 5, ROGNELARD)
Quand il est au port d'arme, un soldat doit se taire. v.300 (Acte 1, scène 6, VALENTIN)
Le flor da lis v.310 (Acte 1, scène 6, LE VISITEUR ITALIEN)
Dans l'horreur d'un seul coup, c'est là qu'il faut entrer ! v.318 (Acte 1, scène 6, VALENTIN)
C'est oune histoire horrible. v.319 (Acte 1, scène 7, LE VISITEUR ITALIEN)
Te blus vort en blus vort ! v.323 (Acte 1, scène 7, FINOT)
Ce château fort et moi nous nous connaissons bien, v.330 (Acte 1, scène 7, FINOT)
J'ai, ton père étant mort, voulu revoir la France, v.348 (Acte 1, scène 7, FINOT)
Ah ! Sans l'événement qui vous charme si fort, v.361 (Acte 1, scène 7, FINOT)
Je lançais contre vous un terrible rapport ! v.362 (Acte 1, scène 7, FINOT)

Dans les 1895 textes du corpus, il y a 5 textes (soit une présence dans 0,26 % des textes) dans lesquels il y a 314 occurences de la forme recherchée, soit une moyenne de 62,80 occurences par texte.

n°	Titres	Acte	Acte 1	Total
1	TYL L'ESPIEGLE	72	0	72
2	CENDRILLON	0	78	78
3	LA BOITE A MUSIQUE	0	67	67
4	UNE NUIT DE MOLIÈRE	0	42	42
5	LA MAISON DES DIMANCHES	0	55	55
	Total	72	242	314